Giling la belle, nichée au creux des promontoires
rocheux ;
Giling la tranquille, à peine troublée par les convois de
chevaux, la transhumance des chèvres et quelques meuglements ;
Giling l’artiste, aux pierres décorées et riches mandalas ;
Giling l’inspirée, nous convie à l’arrêt.
Elle se laisse admirer, elle nous laisse méditer ;
Giling !
Le vent
Le vent du Mustang nous invite au voyage. Il remonte les
vallées, nous incite à monter plus haut encore, de villages en villages.
Il éveille les fantômes qui se jettent sur nous, nous
forçant à courir encore plus en avant…